“ De nos jours, la clé d’un leadership réussi est l’influence, pas l’autorité.” ‍

Ken Blanchard, Businessman américain

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Il y a pléthore de méthodes pour générer du business en utilisant les ressources à votre disposition. Certaines très onéreuses, d’autres moins. Certaines rapides, d’autres réclamant plus d’investissement personnel. 

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Si votre budget est limité et que vous avez du temps à consacrer à la création d’opportunités en ligne, alors voici notre recommandation : devenez influenceur… ou engagez-en un ;)

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Scott Crossfield sits in a thermal-vacuum chamber during tests of a prototype XMC-2 pressure suit

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Un influenceur, c’est quoi ?

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C’est une personne ou une entité qui propose un contenu spécialisé destiné à une communauté engagée, le plus souvent par les réseaux sociaux. Ces personnes sont influentes (forcément) et disposent d’un réseau souvent aussi étendu que qualitatif.

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Pourquoi devenir un influenceur ?

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Un influenceur, c’est quelqu’un que l’on écoute et que l’on respecte. C’est quelqu’un dont l’expertise est reconnue et dont la transmission est enviée. C’est donc la meilleure position possible pour mettre en avant vos produits, vos services ou ceux de vos partenaires. 

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En effet, les possibilités de monétisation de votre position d’influenceur n’ont pour limite que votre imagination :

• Publicité
• Affiliation (faire la promotion du produit ou service d’un tiers et prendre une petite marge sur les ventes que vous provoquez)
• Ventre de vos propres produits
• Vente de contenu premium
• … 

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Comment devenir un influenceur en ligne ?

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La réponse peut sembler simple à comprendre mais c’est la qualité de votre mise en place et la force de votre volonté sur le long terme qui décideront de votre niveau d’influence. Il n’y a pas de raccourci.

Concrètement, notre méthode pour lancer des influenceurs se base sur 5 critères:

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Une passion pour le sujet

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La passion est une caractéristique essentielle de l’influenceur. En effet, c’est elle qui vous poussera à creuser votre sujet pour y dénicher les informations intéressantes ou insolites. C’est également elle qui vous poussera à chercher ce qui va titiller l’intérêt et la curiosité d’une audience de qualité et garder un pas d’avance sur elle. 

C’est cette passion qui va lui donner l’énergie de répondre aux quatre critères supplémentaires que vous trouverez ci-dessous.

Sans elle, autant passer votre chemin. C’est pourquoi, même si l’objectif qui vous pousse à tenter de devenir un influenceur est strictement de booster votre business, le mieux est encore de repartir du début. Quelle est la mission de votre entreprise ? Quel est ce fameux “why” dont Simon Sinek parle si bien. Si vous repartez de cette motivation qui est au coeur de vos actions et qui vous a poussé à vous lancer dans votre activité, alors les portes de l’influence s’ouvrent en grand pour vous.

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Contenu de qualité

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Cela va sans dire, dans une sphère aussi compétitive que les réseaux sociaux, un contenu de qualité est une condition sine qua non pour la réussite de votre projet. C’est l’évidence même.

Le problème se pose quand, par abus d’ambition ou par manque de temps, vous commencez à sacrifier la qualité au profit de la quantité. Dans ce cas, “Allô Houston, nous avons un problème”. Sans un contenu de qualité, vous ne pourrez jamais vous asseoir dans la position d’expert qui vous tient tant à coeur. 

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Mais qu’est-ce qui fait la qualité d’un contenu ?

Évidemment, la forme est importante. Passez du temps sur une illustration de qualité qui soutient l’univers de votre marque et votre souci du détail. Relisez bien votre texte pour en extirper les fautes d’orthographe et autres coquilles.

Mais surtout, SURTOUT : avant de vous lancer dans la réalisation de votre contenu, quelle que soit sa forme, mettez-vous à la place de votre public cible ! Qu’est-ce qui l’intéresse ? Qu’est-ce qui peut l’aider dans son activité ?

Par exemple, en tant que spécialiste du marketing digital, je pourrais être tenté de vous parler des modifications de l’algorithme de Google, ou des nouveaux modèles d’attribution complexes proposés par telle ou telle société. Mais ces considérations techniques ne vous intéressent pas. Elles n’intéressent que les spécialistes du métier. Et ceux-là n’ont pas besoin de mes services. Alors pourquoi ? Si ce n’est pour me rassurer moi-même sur mes propres compétences. 

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En résumé, la clé d’un contenu de qualité réside dans la réponse aux questions suivantes:

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1/ Qui est ma cible/mon client ?

2/ Qu’est-ce qui le freine/lui pose problème dans l’activité qui nous intéresse ?

3/ Comment puis-je l’aider ?

4/ Comment puis-je présenter cette information d’une façon qui lui soit à la fois compréhensible et pertinente ?

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Si vous pouvez répondre à ces quelques questions, vous êtes bien parti et votre cible/client a de la chance de vous avoir.

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Régularité et cohérence

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Vos débuts seront chaotiques. TOUS les influenceurs du monde se cherchent dans les premières semaines, voire les premiers mois. C’est un passage obligé. Votre objectif est d’essayer de trouver votre voix et votre style le plus régulièrement possible. Et puis de construire dessus.

Une bonne façon de vous aider dans cette direction est de réaliser un calendrier éditorial avec une typologie de contenu. Par exemple, vous pourriez vous dire : “Je vais réaliser des articles de blog sur les thèmes X, Y et Z” et réaliser une structure pour chaque type d’article. Et essayer de toujours vous y tenir. De cette façon, votre audience commencera à s’habituer à vos articles et y reviendra en sachant exactement le type d’information qu’ils pourront en tirer. Et ça, c’est bon pour votre taux de clics ;)

Il en va de même pour la temporalité de la diffusion de votre contenu. Peu importe que vous décidiez de poster tous les jours, toutes les semaines ou tous les mois. Le plus important c’est de vous y tenir. Mais nous y reviendrons plus bas.

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 Sponsorisez votre contenu pour booster votre audience. 

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C’est officiel, Facebook n’est pas une ASBL ! Et la quantité de personnes que vous pouvez toucher (ce qu’on appelle le “reach” en anglais dans le texte) de façon organique (sans payer) se réduit d’année en année. 

Facebook est un exemple criant : si vous ne payez pas pour “booster vos publications”, l’entreprise de Mark Zuckerberg ne montrera vos publications qu’à moins de 2% de vos fans (oui, vous avez bien lu).

D’autres réseaux sociaux sociaux comme Instagram ou Twitter permettent, heureusement, d’atteindre un meilleur niveau de reach organique. Mais, même là, il est tout à fait recommandable de mettre un peu d’argent dans votre publicité afin de ressortir du lot et de vous construire une petite base de followers. Ensuite, il n’y aura plus qu’à croiser les doigts pour que les réseaux que vous aurez choisis vous permettent d’atteindre vos fans gratuitement le plus longtemps possible.

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Money is power !

Cependant, ne soyez pas intimidé par ce phénomène, quelques euros peuvent parfois faire une énorme différence et suffire pour que vous puissiez profiter pleinement de toute votre influence.

De plus, si vous monétisez un eu votre contenu (au travers d’une politique d’affiliation par exemple), alors vous pourrez faire une opération neutre… Voire faire une bonne opération… Qui sait !?

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La course à l’influence est un marathon, pas un sprint

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Nous l’avons déjà mentionné plus haut. La régularité du contenu est importante. La qualité l’est encore plus. Il ne faut donc pas sous estimer la quantité d’efforts et de temps que vous aurez à investir dans cette activité. C’est ce que nous vous écrivions dès le deuxième paragraphe de cet article. 

Dès lors, quel que soit le type de format et le type de contenu que vous souhaitez diffuser, je vous recommande chaleureusement de vous créer un “filet de sécurité”. 

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Vous réalisez des podcasts ? Enregistrez l’équivalent d’un mois d’épisodes d’avance minimum.

Vous écrivez des articles? Un mois d’articles en réserve !

Votre format, c’est la vidéo ? … Même chose.

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Durant la réalisation de ce filet de sécurité, mesurez vos heures. Et vous aurez ainsi une bien meilleure idée du temps que vous devrez effectivement consacrer à votre contenu. 

De cette façon, vous aurez une marge pour pallier aux imprévus et vous ne risquerez pas de vouloir en faire trop et de vous diriger droit vers le burnout. Votre objectif est de tenir la distance. Après tout, c’est un marathon. Pas un sprint !